L'avantage de celui de Peter Pan c'est que l'on ne grandit plus, on reste un éternel enfant.
Pour celui d'Alice, c'est plus compliqué.... Mais le coté intéressant, c'est que là-bas, on grandit.
De nombreux dessinateurs se sont penchés sur la question et n'ont pas manqué d'inspiration.
Quand J.Scott Campbell, David Nakayama, Dominic Marco, Billy Tucci avec Nei Ruffino à la couleur rêvent d'Alice au pays des merveilles, ça donne cela. (Chilloutpoint.com)
Vu comme ça, la nature des rêves en est changée.......
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